Candide
Leonard Bernstein
Comédie musicale en deux actes.
Livret de Lillian Hellman et Richard Wilbur, avec Hugh Wheeler, John Treville Latouche, Dorothy Parker et Stephen Sondheim. Créée le 1er décembre 1956 au Martin Beck Theatre à New York. Version de concert.
En détail
Mulhouse
La Filature
Strasbourg
Palais universitaire de Strasbourg
Entracte compris.
La séance du 15 mars est réservée aux étudiant·es et gratuite. Billets à retirer sur présentation de la carte étudiante au Studium, 10h30-14h30 (campus Esplanade).
En partenariat avec La Filature – Scène nationale de Mulhouse et avec le Service de l’action culturelle de l’Université de Strasbourg, dans le cadre de la programmation anniversaire de son dispositif Carte culture.
Distribution
Les Artistes
Pangloss et Martin Lambert Wilson Candide Damian Arnold Cunégonde Floriane Derthe La Vieille Dame Liying Yang Maximilien Oleg Volkov Paquette Brenda Poupard Le Capitaine Andrei Maksimov Le Gouverneur Glen Cunningham Vanderdendur Iannis Gaussin
Présentation
« Tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles. » Ainsi parle Pangloss à son disciple Candide pour l'encourager sur les chemins de l'optimisme. Il faut dire que la vie est plutôt douce à la cour du baron de Thunder-ten-tronckh. Mais voilà Candide bientôt arraché de ce coin de paradis après avoir échangé un baiser innocent avec la belle Cunégonde. Mis à la porte du château, il découvre la guerre et entame un périple autour du monde, de Lisbonne à Buenos Aires, en passant par Paris, Venise et l'Eldorado. De déconvenues en mésaventures, le malheureux voit les grands principes de Pangloss se fissurer à l'épreuve de l'expérience. Il en viendrait presque à délaisser les sirènes de la métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie pour cultiver son jardin...
Avec Candide (1759), Voltaire raille joyeusement l'optimisme aveugle et les travers de la société occidentale avec un sens de l'ironie et un comique de situation qui annoncent déjà le théâtre de l'absurde. Mis en musique par Bernstein un an avant West Side Story, ce conte philosophique devient progressivement un classique de la comédie musicale américaine, porté par son ouverture et l'air des bijoux de Cunégonde, le pyrotechnique « Glitter and Be Gay ». Lambert Wilson prête sa voix au philosophe Pangloss et emporte avec lui la troupe des jeunes chanteurs de l'Opéra Studio dans un réjouissant voyage en absurdie.
En anglais
Surtitré en français, allemand