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Strasbourg
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Disponible jusqu'au 27 juin.
Présentation
La musique arabe a une force émotionnelle considérable. L'invention de la radio et du disque au début du XXe siècle a permis sa diffusion dans le Proche et le Moyen-Orient. La musique classique, quant à elle, à la faveur du mandat français (1920-1943), s'est développée grâce aux institutions musicales qui ont été créées à Beyrouth en particulier. Avant le début de la guerre civile, en 1975, Beyrouth était l'une des capitales musicales les plus actives de tout le monde arabe. Compositeurs, interprètes, orchestres ont cherché, depuis une trentaine d'années, malgré toutes les difficultés qu'a connues ce pays, à lui redonner ce rang et cette aura perdus.
Cet entretien avec Zeina Saleh Kayali, musicologue, éditrice, auteure de nombreux livres consacrés aux compositeurs libanais et journaliste à L'Orient-Le Jour nous permet de découvrir la richesse de la vie musicale au Liban, depuis les années 1920 jusqu'à nos jours.